Mes écrits explorent ce qui oriente la décision : la limite, le désir, la résistance, le sens, le plafond invisible.
Penser la décision.
Écouter autrement.
Relier l’intime au collectif.
Décider sans garantie
Enfin, l’acte sans garantie vient fermer cette trilogie sur la décision, qui est née d’entretiens avec des dirigeants confrontés à des moments de bascule.
Trois textes pour penser la décision comme posture.
Il n’y a rien de pire qu’une décision non prise
Ce deuxième article de la trilogie sur la décision explore la non-décision comme position.
Quand décider ne suffit plus : la solitude du décideur
Une trilogie d’articles pour explorer les trois impasses contemporaines de la décision.
Dans ce premier texte, il est question de la solitude du décideur.
Le chant des étoiles
Le leader d’aujourd’hui n’impose plus sa vision : il l’écoute émerger.
Il agit moins par pouvoir que par présence,
moins par injonction que par inspiration.
Peut-être que résister, aujourd’hui, c’est cela :
retrouver ce qui, en nous, peut encore entendre le chant des étoiles.
Silence de la lettre
Le silence n’est pas absence de mots,
mais matière vivante — un bord du vide qui soutient la parole.
Liberté (en) action
La réalité n’existe pas en dehors de la relation.
Dans la qualité de notre présence au monde, la réalité advient avec nous. L’attention en est la source, l’intention le mouvement, l’action la trace.
Comment la Théorie U m’a appris à écouter autrement
Avant de changer de cap, il faut savoir d’où l’on agit.
La Théorie U m’a appris à écouter autrement : à suspendre, rediriger, lâcher-prise.
C’est en descendant vers cette source intérieure que j’ai découvert la boussole la plus fiable : le corps.ence par une idée.
Ces textes poursuivent les questions qui traversent ma pratique, au fil de l’écriture.
Ils s’adressent à celles et ceux qui souhaitent penser autrement, clarifier ce qui résiste et retrouver un accord intérieur juste.
À l’heure où se multiplient les coachs virtuels et les accompagnements par intelligence artificielle, ce travail prend le contre-pied : penser la décision comme une expérience humaine, singulière et non automatisable.